KRPG version 2 Forum d'aide à la création de Forum.
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Eden Memories » Imaginateur |
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Eden Memories
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 Sujet: Eden Memories » Imaginateur  Lun 29 Juin - 9:01 |
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Quelles sont vos motivations pour ce poste ?
Je crois que j'ai toujours aimé aider les autres. C'est plus fort que moi, lorsqu'on me demande mon aide même lorsque j'en ai pas le temps, je m'efforce de faire du mieux que je peux pour aider l'autre. Je suis quelqu'un qui écoute les autres, et arrive assez bien à saisir les idées des autres. C'est naturellement que j'occupe des postes d'analyste sur d'autres forums ou de conseillers pour les contextes sur quelques forums, parce que j'aime beaucoup aider les futurs administrateurs à construire leur forum et surtout sur la partie conception même du concept, en l'occurrence du contexte, mais aussi sur les postes vacants ou les idées pour les intrigues qui viendront. Je pense que tout est lié naturellement, et que lorsqu'on a une idée de forum, tout le reste viendra naturellement, mais il arrive que ça bloque quelque part... le doute vient, on se pose des questions, est-ce qu'on a eut une bonne idée, est-ce qu'on a bien tout mis ce qu'on voulait dans le contexte? est-ce que notre écriture est suffisamment fluide et facile à lire? Bref, entre ceux qui sont bourrés de doute qui ont simplement besoin qu'on les rassure et ceux qui sont simplement dans le vague, et ont besoin de nos lumière pour sortir des ténèbres, j'aimerais pouvoir leur apporter la lumière et les guider pour qu'ils parviennent à faire d'une simple et belle idée un beau contexte et un magnifique forum.
Quels sont vos antécédents (forums RPG créés ou administrés, ce qui en est advenu, etc.) ?
Vous voulez entendre toute l'histoire c'est bien cela? Eh bien tout a commencé avec les Webséries. Vous vous dites quel rapport? Ca vient. J'écrivais des webséries et un jour une de mes lectrices qui faisait du RPlay m'a proposé de venir sur un forum de RPG fantasy un brin fantastique également. Je suis allé voir et ça m'a plu. Il y avait un esprit particulier, une certaine liberté, je sais pas si c'est l'époque qui a changé ou si c'était une petite communauté qui avait ses propres règles mais je me souviens que personne ne se souciait du nombre de ligne que tu faisais, et qu'on mêlait avatar de manga, dessin ou encore célébrité, et qu'on avait toutes les libertés possible. A noter j'ai finit par être amie avec tous les membres du forum et lorsque j'ai ouvert mon propre forum ils ont tous rappliquer. A l'époque c'était du nawak mais on s'amusait comme des fous. Lorsque j'ai établi les règles, le contexte ou encore la fiche de présentation, c'était en accord commun avec tous les membres, chacun donnait son avis mais c'est moi qui avait la décision finale. On s'est bien marré mais au final le forum a commencé à très marcher et puis le temps a passé, pas mal ont abandonné le rp pour leurs études, le travail et tout, et moi j'ai continué toute seule. J'ai découvert des forums très réguler où l'on vous donnait vos directives de RP par map, où il y avait des scénarios précis, des forums où il y avait des règles précises et d'autres où même s'il y avait pas mal de règle, j'y trouvais une certaine liberté en apprenant à jouer avec tout ce qu'on m'imposait. Le contexte parraissait un peu trop creux? Qu'a cela ne tienne, je finissait par donner des suggestions aux admins, les fiches pas assez complètes, je proposais naturellement des parties en plus dans ma présentation. Et finalement j'ai créer plusieurs forums. La plupart ne tenaient guère longtemps, disons que pour moi les vacances sont une peur irrationnelle car elles mènent systématiquement mes forums à fermer.
Si vous avez présentement un forum de type RPG, veuillez en donner l’adresse (cela augmente largement vos chances).
Attention! Ce forum est en construction. J'y passe beaucoup de temps parce que je soigne beaucoup mes forums avant de les ouvrir. Bon celui là j'ai eut les yeux plus gros que le ventre et ça me demande trop de temps de tout faire, mais bon je vais y arriver un jour à le finir et à l'ouvrir. Enfin bref, que personne ne s'y inscrive merci. (et ne divulguer pas cette adresse merci.)
- Spoiler:
Quels types de forum (Fantastique, Futuriste, etc.) aimez-vous particulièrement ?
Je maîtrise le fantastique. Pas spécialement la fanatasy, parce que à mes yeux c'est très différent, même si j'ai fait beaucoup de jeu de rôle de table type Warcraft mais bon je suis plutôt fantastique. Les histoires de fantômes, de vampires, de loup-garou ou de sorcellerie c'est un peu ma spécialité. Cela dit je m'y connais très bien aussi en antiquité et en Dieu et démon. Disons que ce sont mes centres d'intérêt en littérature du coup je m'y connais un peu. Mais j'aime aussi beaucoup l'histoire donc pour des forums historiques ou mêlant l'histoire et le fantastique je saurais aussi m'y retrouver.
Préférez-vous faire partie d'une équipe ou vous contenter d'aider les créations littéraires dans la Tribune ?
Faire parti d'une étape, et puis j'adore travailler en équipe.
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Eden Memories
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| Sujet: Re: Eden Memories » Imaginateur Lun 29 Juin - 9:03 |
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Montrez-nous un ou plusieurs de vos textes écrits (de style littéraire, particulièrement).
Premier texte, un contexte pour un autre forum en construction.
- Spoiler:
« S C E N T . O F . N I G H T M A R E { origins of darkness « EXTRAIT DU JOURNAL INTIME DE ELEANOR M. ARMSTRONG - 19 SEPTEMBRE, 1994 »
Tu sais quoi ? Ma mère a décidé de m’envoyer dans un pensionnat parce qu’elle a découvert un petit sachet suspect dans ma chambre. Depuis quand ma mère a le droit de fouiller ma chambre ? Je ne sais pas pour qui elle se prend. Je suis Eleanor Armstrong, je suis la fille d’un célèbre chanteur, je suis la fille qui décide ce que tout le monde va faire samedi soir, je suis celle que tout le monde admire. Je n’ai pas l’intention de finir mes jours dans un affreux pensionnat. En plus, il se trouve que j’ai horreur du froid. Et ce fichu pensionnat est situé dans une île affreusement froide ! Depuis quand je dépend des volontés de ma mère. Demain j’en parlerais à papa, je suis certaine qu’il reviendra express pour en parler à maman. Il ne peut pas la laisser faire. Je suis sa fille adorée après tout. Il me laisse toujours faire ce que je veux, m’obtient toujours ce que je veux. Merci papa chéri de me laisser cette liberté que ma mère rêve de m’enlever. Je ne sais pas ce que cette garce me veux. C’est comme si elle m’espionnait, m’observait à chaque fois que je fais un pas. Si seulement je pouvais me débarrasser d’elle.
« EXTRAIT DU JOURNAL INTIME DE ELEANOR M. ARMSTRONG – 21 NOVEMBRE, 1994 »
Je déteste ma mère. Je la hais, je la hais. Vraiment. Elle a réussit à convaincre mon père. Hier, elle faisait mes valises, pliant soigneusement mes affaires tout en me faisant la morale. Je la détestes. Elle s’en moque naturellement, de ce que je peux penser ou de ce que je peux ressentir. De toute façon, je m’en moque aussi. Elle peut rester dans son palace, et continuer à draguer n’importe quel mec avec un porte feuille conséquent, je m’en moque complètement. Et papa ? Il n’est pas venu. Maman lui a parlé au téléphone, elle sait toujours comment l’avoir. Lorsqu’elle m’a rendu le téléphone, elle avait ce sourire ravi sur le visage, j’avais envie de le lui arracher. Et maintenant ? Je suis dans le train, fixant le paysage, écrivant ces lignes. Que penseront mes amis de mon départ ? Se poseront-ils des questions ? Naturellement qu’ils vont s’interroger. Tout le lycée va s’interroger. Je suis la plus populaire des lycéennes de Greenwich. Tout le monde veut être à ma place. Curieusement, à cet instant, je la laisserais volontiers ma place. J’ai beau être une garce, je le reconnais je peux être une vraie peste, mais c’est juste pour m’amuser. Je ne mérite pas ça. Pourquoi ma propre mère m’inflige ça ?
« EXTRAIT DU JOURNAL INTIME DE ELEANOR M. ARMSTRONG – 4 JUIN, 1995 »
Quelqu’un a dit un jour que l’enfer existait sur terre. Je me souviens de cette fille. Je lui avais enlevé tout espoir d’appartenir un jour au club des filles branchées, populaires du lycée, je lui avais aussi accessoirement enlevé tout espoir de sortir avec le garçon qui lui plaisait. Elle m’observait comme si je venais de la jeter dans un gouffre la menant droit en enfer. Sur le moment j’ai vacillé, me demandant si je l’avais réellement envoyé en enfer. Mais ce n’était rien. L’enfer, je sais ce que c’est à présent. Cet endroit est tout sauf un pensionnat. Premièrement il n’y a pas un seul cours, pas de professeur non plus. Tout ce qu’il y a ce sont des psychiatre et des cellules, blanches, capitonnées, avec des vitres d’une épaisseur assez importante pour qu’on entende aucun bruit, pas un seul, pas même un hurlement de terreur. J’ai le droit de me promener, avec les autres pensionnaires, dans une cour avec des arbres et tout, j’ai le droit d’assister à des réunions de groupes ou plutôt si je n’y vais pas c’est une séance toute seule avec cet espèce de pervers qui me regarde comme si j’étais une friandise et qu’il mourrait de faim. Cet endroit est un asile psychiatrique ! Ma mère m’a envoyé dans un asile ! C’est elle qui mériterait d’y faire un séjour !
« EXTRAIT DU JOURNAL INTIME DE ELEANOR M. ARMSTRONG – 12 DECEMBRE, 1995 »
Je ne sais pas encore combien de temps je pourrais encore écrire dans ce journal. Je suis persuadé qu’on essaie de me l’enlever. Ca fait bien un an que je suis ici. Les choses ont bien changées depuis mon arrivée. On ne me traite plus comme si j’étais une toxicomane avancée, mais peut-être que je préférais encore ça. Une à deux nuit par semaine, on m’emmène dans un endroit sombre. Des personnes n’en sont jamais revenues. Comme cette gentille fille qui essayait de me dire quelque chose. Je ne sais pas ce qu’ils me veulent mais c’est douloureux. Ils ont commencé par prendre mon sang, mais maintenant, ça devient de plus en plus étrange. Ils ne disent rien évidement. Mais je sais qu’il se passe quelque chose d’étrange. Des personnes deviennent folles. Des jeunes de mon âge qui consommaient plus de drogue que moi, mais ils étaient loin d’être fous. Quelque chose qu’ils leur ont fait les a rendu fou. Et le pire c’est que j’ignore quoi. Je dois tout faire pour tentir de sortir d’ici. Je ne sais pas encore comment mais je n’ai aucune envie de finir avec une camisole bavant incapable de prononcer un mot.
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| Sujet: Re: Eden Memories » Imaginateur Lun 29 Juin - 9:06 |
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Second texte, une biographie pour un personnage.
- Spoiler:
Ne jamais tomber amoureuse. Tu connais bien ça maman, hein ? Il te battait et tu ne disais rien. Tu l’as laissé filer parce que tu ne voulais pas qu’il s’en prenne à tes deux filles chéries. Tu n’a jamais su que c’était pour ça que je venais encore te voir alors que ma sœur n’a jamais mis les pieds dans cette fichue maison de repos. Tu ne te rappelais même plus qui tu étais, mais tu savais que j’étais ta fille. Si tu savais comment je t’ai détesté. Tu m’appelais Sariah. C’est ma sœur jumelle. Je suis née quelques minutes avant elle, mais elle m’a vite dépassé. En tout elle était la meilleure. Meilleure à l’école, plus gentille et plus chippie aussi que moi. Mais elle était belle. Jamais on aurait dit qu’on était du même sang alors jumelle ? On ne se ressemble pas du tout. Elle est la reine des hypocrites. Sa beauté fatale plait aux garçons et dès enfant elle jouait de ça, sachant que tous les yeux étaient posés sur elle. Moi j’ai jamais été comme elle, maman. Tu aurais voulu que je sois normale, comme ma sœur, tu aurais voulu que je sois plus jolie maman, mais tu m’aimais quand même. Peut-être plus que ma sœur même si enfant je ne m’en rendais pas compte.
Quand papa est parti, tu t’en es voulu. Je sais pas ce qui se passait dans ta tête. Tu te disais sûrement durant toutes ces années qu’il ne nous toucherait pas, que si tu disais rien et que tu le laissais faire, il resterait là pour nous. Tu t’es trompé. Tu n’aurais jamais dû lui faire confiance. Tu me le disais tout bas. Je suis désolé Holly, je n’aurais pas dû… et après tu pleurais doucement. C’est marrant, tu n’as jamais pleurer devant ma sœur. C’est comme si tu savais que moi je comprenais et pas elle. Tu souriais tout d’un coup lorsqu’elle entrait dans une pièce. Et moi comme une idiote je pensais que c’était parce qu’à tes yeux c’était ton unique rayon de soleil et que moi j’étais qu’un ignoble oiseau de malheur te rappelant cet homme qui te battait. Mais il était parti, nous laissant seules. Et toi, tu as sombré. Ta mémoire a commencé à te lâcher tout doucement. Tu oubliais des petits trucs, comme la date ou encore de prendre les clés, et un jour des gens sont venus pour nous emmener loin de toi. Parce que tu étais malade. Et on a été placé dans des familles d’accueil.
J’ai toujours été l’écorchée vive. Tu le savais bien maman, que pour moi, rien n’allait jamais comme il fallait. Je n’écoutais pas en cours lorsque tu étais là pour moi, avec tes bras chaleureux, tes douces paroles chuchotées à mon oreille, pourquoi cela aurait été mieux lorsque tu n’étais plus là ? Rien n’allait plus. J’étais devenu un électron libre. Je me battais tellement, simplement pour me faire respecter, que j’ai eut la chance incroyable de voir des psychologues. Je crois que je fus l’avant première de pleins de choses à mon école. Genre des portiques de sécurité pour que plus personne ne ramène d’arme ou encore le vigile à la sortie pour éviter les bagarres. Bientôt on commença à me surveiller du coin de l’œil en se demandant quel drame j’allais encore déclancher. Parce que dans le fond, ce n’était pas moi qui provoquait directement tout ça, j’engageais jamais une bagarre mais je ne fuyais pas non plus. Disons que j’étais la bête noir du collège. Il n’y aurait pas eut de bagarre si j’étais pas aussi bornée avec une apparence de fragilité qui donnait l’impression aux mecs qu’ils m’auraient facilement.
Mais je m’en tirais comme je pouvais. J’ai changé de famille d’accueil plusieurs fois. Ma chère sœur jumelle, elle n’avait pas de problème. Elle s’est fait adopté sans aucun problème. Sa famille l’a rapidement couvert de cadeau. Une vraie peste. Elle se jouait d’eux et ça se voyait comme le nez au milieu du visage. Elle rapportait que des bonnes notes alors qu’elle s’amusait toujours en cours comme en récré à torturer ses camarades. La différence entre nous était si énorme que lorsqu’on se croisait, on se battait. C’était plus fort que nous. Même elle, la sage petite Sariah, ne pouvait s’empêcher de vouloir lever les poings sur moi. Je ne te voyais que rarement, tu sais. Ils ne me laissaient pas te voir. Ils avaient peur que ça me fasse de la peine, ou que ce soit toi qui en est.
Tu aurais su, tu aurais fait quoi maman ? Si tu avais eu ne serait-ce qu’un soupçon, est-ce que tu aurais lever le petit doigt pour moi ? Pendant toutes ces heures dans le noir, j’ai espéré que tu fasses quelque chose maman. J’ai eu si peur… si peur… j’ai pas pleurer pourtant, jamais versé une larme. Tu sais bien que c’est pas mon genre. Il était là, partout, autour de moi, me touchant, me reluquant, choisissant avec soin ses mots… et j’étais seule, sans défense. Je n’ai jamais eu l’air très maligne ou très intelligente. J’étais réputé pour me battre pour un rien. On disait que je cherchais les coups. C’est pas vrai, et tu le sais. Je les cherchais pas, ils arrivaient sur moi, c’est tout. J’ai jamais vraiment chercher à comprendre. Le destin, j’y ai jamais cru. Jusqu’à ce que ce type me touche. Il était un vrai papa. Tu n’avais pas réussit à m’en trouver un. Lui, il était là pour moi. D’ordinaire, on peut pas m’approcher alors avoir ma confiance… mais lui, je sais pas comment il s’y est prit… il était gentil et pas collant. Il me posait pas de question idiote. Il avait l’air de me comprendre. Peut-être parce que c’était un foutu malade mental. Et toi maman, tu n’étais pas là. Je t’imaginais dans ta maison de repos, seule, dans le noir, en train de lire un livre ou d’écouter une sonate. Tu aimais les sonates. Pour une femme au foyer, battue par son mari, tu étais capable d’écouter une sonate et de pleurer devant sa beauté. Tu m’épatais. Je ne te l’ai jamais dit. Je te traitais comme une imbécile parce que je pensais qu’une femme pouvait se défendre. Mais j’avais tord. J’ai pas réussit à me défendre lorsqu’il a commencé à me toucher. Pas comme un père. Il n’a jamais été mon père. J’ai eu tord de le croire, même si ça n’a été que durant quelques secondes d’un foutu et idiot espoir d’une gamine perdue.
M’aurais-tu sauver maman, si tu avais su ? J’étais seule et perdue. Au début, il me caressait les bouts de peau nue qu’il voyait. Il faisait comme si c’était normal. Moi, je savais bien que ce n’était pas normal, mais il était si gentil. Je me disais que je pouvais lui faire confiance, que c’était sa façon d’être, qu’il fallait que j’arrête d’être la fille bizarre qui n’a pas de papa ni de maman qui ne fait confiance à personne et déteste tout le monde. Je me suis dit que si je fermais les yeux ça irait mieux. Ce n’est pas mon genre de fermer les yeux. D’ordinaire je répond lorsqu’on m’attaque, je suis une bête farouche. Mais il a continué. Il a été plus loin, petit peu par petit peu. Il savait. Je ne sais pas comment ni pourquoi mais il savait que je ne dirais rien si je pensais que je pouvais avoir confiance en lui, que c’était juste sa façon à lui d’être un père. Il laissait l’illusion s’installer, la confortait sans cesse. Et puis il a commencé à vouloir plus. Comme j’ai refusé, il m’a frappé. Il a ensuite dit qu’il me renverrait à l’orphelinat. Et il l’a fait. Ma mère d’adoption a fait une lettre et j’ai été de retour à la case de départ. Tout était si horrible. Je me sentais tellement idiote. Je pensais avoir tord, tu comprends. Tu aurais dû me dire que j’avais raison. Tu aurais dû m’enseigner que les monsieurs pouvaient faire ce genre de chose. Mais tu ne m’avais rien dit. Personne ne m’avait rien dit.
Tout aurait été bien, peut-être pas parfait, parce que je sais que je suis pas normale, mais je sais aussi que je ne suis pas folle. Tout aurait été bien si j’avais fait ce qu’il fallait. Il est revenu me voir, tout contrit, disant qu’il était désolé. Il regrettait. Tu comprends ? Il voulait que je le lui pardonne. J’ai accepté de monter dans sa voiture, et il a démarré. Son sourire… j’aurais dû me douter que quelque chose clochait. Quand il a arrêté la voiture, on n’était pas à la maison. On était… nulle part. Il m’a poussé hors de la voiture et m’a enfermé dans une espèce de d’immeuble abandonné. Je me suis réveillée attachée sur un lit. Il était là, au-dessus de moi, en train de me reluqué et il a dit que j’étais une mauvaise fille. Il ne m’a pas touché durant des jours. Il se contentait de me regarder d’un air mauvais et de dire que j’étais mauvaise, un monstre, dont personne ne voulait. Il a dit au bout d’un moment, mais je ne savais pas combien de temps s’était écoulé, j’aurais dit un mois mais chaque seconde me paraissait mortellement longue, que je ne valais rien puisque personne ne me recherchait. Et là, il a commencé à me toucher. Il me battait plus qu’autre chose. Ses mains… je les avait en horreur mais c’était la seule chose qui troublait mes journées où je ne pouvais rien faire, même pas me gratter le nez. J’avais compris son mécanisme dès la première parole qu’il avait prononcé. Il avait tout son temps et s’y connaissait un peu en psychologie. Pour lui j’étais faible, je voulais de l’amour, alors il m’a complètement manipuler. Mais attachée au lit, j’avais tout le loisir de réfléchir. Jamais je n’ai abdiqué. Il avait beau faire des manœuvres, jamais il n’a pu me détacher car il savait que je rêvais d’un bidon d’essence et d’une allumette. C’est une bande de jeune qui voulait squatter les lieux qui m’ont découvert. Ils ont pris peur mais ont appelé la police. Et toi, tu étais où maman ?
PS: désolé pour les trois postes, mais ça rentrait pas sinon.
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ALLEZ REJOINDRE UN CLAN !
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| Sujet: Re: Eden Memories » Imaginateur Mer 1 Juil - 13:26 |
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Bonjour : )
Merci de cette candidature et d'avoir choisie Sweet Creation : p Alors c'est Vegah qui se charge des Candidatures donc il faut juste attendre un peu qu'elle se connecte sur le forum : )
Mais je pense que tout est bon :p
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Vegah
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| Sujet: Re: Eden Memories » Imaginateur Mar 7 Juil - 22:03 |
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Bah ça y est, mon idée de forum est fichue. -_-'
Autant l'idée de la drogue inspirée de Charlie par Stephen King, que celle du centre de tests sur des personnes ayant des pouvoirs camouflé en asile psychiatrique. Je voulais mixer les deux. Mais c'est plus du tout original. X_X
Bon, d'accord quand même. J'te prends. XD
Bienvenue dans l'équipe ! Dès que j'aurai un moment, je commencerai ta formation dans 'J'vais m'coucher moins con, ce soir' ---> Imagination. Tu y verras un sujet à ton nom. ^^
Un dernier petit commentaire : relis-toi un peu, il y a quelques fautes d'orthographe évidentes dans tes textes. ^^
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Eden Memories
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| Sujet: Re: Eden Memories » Imaginateur Jeu 9 Juil - 11:44 |
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Désolé, les fautes d'orthographes et moi c'est une longue histoire, j'espérais que Word suffisait car je n'arrive jamais à voir mes fautes... (faudrait que j'use d'un meilleur correcteur orthographique).
Merci.
EDIT: je trouve pas la zone formation.
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| Sujet: Re: Eden Memories » Imaginateur Jeu 9 Juil - 19:29 |
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Les correcteurs automatiques ne suffisent jamais @_@ Le meilleur correcteur, c'est toi. Si tu as besoin d'aide, tu peux venir me voir, j'aime bien expliquer ces choses. ^^
Voilà, tu devrais pouvoir voir la section à présent, mais je n'ai pas encore créé de sujet. ^^ Je dois aller travailler =p
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| Sujet: Re: Eden Memories » Imaginateur Ven 10 Juil - 0:00 |
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Oky bah merci beaucoup. 
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| Sujet: Re: Eden Memories » Imaginateur |
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Eden Memories » Imaginateur |
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